Lors du MIDEM 2014 à Cannes (salon qui réunit tous les professionnels de l’industrie musicale mondiale), la Corée du Sud a été mise en avant le Dimanche 02 Février.
Le duo d’Amoeba Cutlure, Dynamic Duo, est venu spécialement pour présenter leur expérience de l’industrie musicale lors d’une interview réalisée par le MIDEM (ENG).
Retranscription : CZ (Choiza) / GK (Gaeko) / MD (journaliste)
*la traduction n’est pas exacte mot pour mot*
CZ : « Bonjour, Je suis Choiza des Dynamic Duo »
GK : « Et je suis Gaeko »
MD : Merci d’être venus au Midem. Le thème de cette année est la reprise de l’industrie musicale. Quelle est votre opinion et votre point de vue en tant qu’artiste sur le fait que ça aille mieux ?
CZ : « Nous cherchons l’inspiration dans les charts et nous essayons d’être aussi créatifs que possible pour faire de la bonne musique. » [Alors c’est une bonne chose].
MD : Est-ce qu’il est plus facile d’être un artiste maintenant comparé à il y a 5 ans, par exemple ?
GK : « Ce n’est pas vraiment différent dans la création des contenus mais c’est plus facile de se construire et de travailler avec d’autres artistes grâce aux nouvelles technologies. Il n’y avait pas tout cela avant. Avec internet tout est plus facile qu’avant. On peut interagir avec les fans ou parler avec d’autres artistes. »
MD : Interagir avec vos fans sur les réseaux sociaux (Twitter par exemple), c’est quelque chose d’important pour vous ?
GK : « Nous avons été surpris d’avoir autant de fans internationaux car nous entretenons une relation très active avec notre fanbase coréenne. Je suis très actif sur Twitter et je m’exprime en coréen. Et pourtant, il y a beaucoup d’interactions grâce à toutes les traductions qui sont faites. »
MD : Au Midem également, n’est ce pas ?
*Cette réponse est approximative car l’audio est un peu faible*
CZ : « C’est cool de voir à quel point les gens sont intéressés par ce que l’on fait. Il y a aussi beaucoup d’interactions ici avec l’international. »
MD : Merci beaucoup, passez un bon MIDEM !
midem. connected by music |
****
Plus tard dans la journée, le duo de choc était présent lors d’une conférence « Paroles d’artistes » avec deux membres de VIXX (un groupe de K-pop pour les retardataires). Cliquez sur l'image pour voir les photos:
Conference MIDEM 2014 |
Les Dynamic Duo se sont ensuite produits sur la scène du Magic Mirrors lors d’un show très privé à l’occasion de la K-Pop Night Out. (Re)plongez vous dans l'ambiance avec Under K-HipHop !
****
Visionnez la conférence Artists Speak to Artists (KR/ENG) ou retrouvez la retranscription en français sous la vidéo.
Retrouvez les Dynamic Duo en concert le samedi 8 février au Nouveau Casino de Paris.
Retranscription: MD (Modérateur) / JLT (Journalistes) / CZ (Choiza) / GK (Gaeko) / N / RV (Ravi)
* La traduction n’est pas exacte mot pour mot*
MD : Aujourd’hui nous allons passer une heure en compagnie de super talents coréens. Comme vous le savez peut être, Dynamic Duo est un groupe hip hop composé de deux rappeurs : Choiza et Gaeko. C’est un groupe qui reste fort depuis plus de dix ans en Corée. Accueillons également deux très jeunes artistes membres du groupe VIXX : N (leader) et Ravi. Bienvenue !
Bien, les médias sociaux sont le thème principal de notre conférence aujourd’hui. Les groupes coréens sont des pros dans ce domaine et savent utiliser les réseaux sociaux quand il s’agit de fidéliser, mettre en valeur leur image ou leur musique et maintenir la relation avec leurs fans.
Q° pour Dynamic Duo : Vous êtes actifs depuis plus de dix ans maintenant, et vous êtes un peu les pionniers de cette scène hip hop en Corée du Sud. Votre développement est en miroir avec celui des réseaux sociaux. Avez-vous développé votre musique parallèlement à cette évolution, avez-vous intégré l’émergence des réseaux sociaux dans vos activités musicales ?
CZ : « Tout d’abord, c’est très important pour nous de produire de la bonne musique. Il est tout aussi important d’avoir un feedback direct de nos fans pour développer notre musique et plus encore. »
GK : « Cela fait plus de dix ans que nous sommes un duo et que nous faisons du hip hop. Les temps changent, il est maintenant plus facile d’avoir un contact direct avec les fans internationaux. Le feedback musical que l’on peut avoir avec les gens hors de Corée, ou même les Coréens, est très important. »
MD : Q° pour VIXX : Bienvenue à vous gentlemen ! Ils ne sont actifs que depuis un an à peu près. J’ai une anecdote de la part d’un spécialiste K-pop : leur relation avec leurs fans est tellement étroite qu’ils ont été pratiquement choisis par les fans pour créer le groupe.
N : « C’était un concours où les fans pouvaient voter. Pour ceux qui ne connaissent pas, ça s’appelle ‘My Idol’ [Télé-crochet, ndlr]. C’était surtout le choix de la compétition. »
MD : Voici une question pour vous quatre, peut-être plus spécifiquement pour les musiciens K-pop: L’industrie musicale en Corée du Sud est très compétitive car c’est un petit pays, la popularité vient et s’en va très rapidement, comment vous maintenez-vous dans l’industrie ? Les médias sociaux sont-ils importants au maintient de votre carrière ?
CZ : « Les choses changent très rapidement en Corée et c’est toujours un souci pour les artistes. Nous sommes présents depuis plus de dix ans et que nous ayons du succès ou non, nous continuons à entretenir la relation avec nos fans. »
RV : « Depuis nos débuts il y a un an et demi maintenant, nous utilisons les médias comme SNS pour contacter nos fans. Nous avons utilisé ce réseau pour fêter la nouvelle année à tous nos fans. Nous leur avons montré des bouts de notre vie quotidienne, des choses qu’ils ne peuvent pas voir quand nous sommes sur scène. »
[Q/R VIXX en Français dans la vidéo à 10:09]
MD : Ce qui est intéressant quand on parle des fans, c’est qu’en Corée du Sud c’est quelque chose de très particulier. Ils jouent un rôle essentiel dans l’évolution musicale et dans leur relation avec les musiciens. C’est quelque chose de beaucoup plus développé que dans les autres pays. En quoi est-ce si spécifique et si essentiel à votre musique ? Autant dans la K-pop que dans le Hip Hop, c’est une question sociale.
CZ : « Je penses que les coréens sont des fans très passionnés en général. Pour parler plus particulièrement des 'idols', ils sont populaires à l’international car à leur âge ils ont plus de culture coréenne à transmettre. »
GK : « Leur musicalité est très attractive pour beaucoup de fans. Je ne pense pas que les fans de Dynamic Duo soient aussi passionnés et expressifs que ceux des groupes d’Idols. » [Rires]
N : « Peut être que si les fans coréens sont aussi passionnés par notre musique c’est parce que nous sommes très charmants. [Rires] Les Idols ont un planning très chargé en dehors des concerts ou de la musique. Les fans ont aussi la possibilité de découvrir autre chose que leur activité de musicien. »
MD : Faire partie d’un groupe d’Idol, c’est comme être au top ?
N : « C’est vrai. Mais pas seulement. Cela dépend aussi du look, du talent, même au sein des Idols, il y a un top du top. »
MD : C’est un milieu très compétitif… Est-ce que vous connaissez le profil type de vos fans ?
CZ : « Oui. Plus spécialement de nos jours car en achetant un ticket pour un concert, par exemple, nous pouvons connaître l’âge ou le statut social des acheteurs. De même via Facebook ou Twitter, nous pouvons nous faire une idée de qui sont nos fans. »
MD : Y-a-t-il un groupe social ou un profil démographique type des fans en Corée du Sud ?
GK : « Tout est important. »
CZ : « L’âge surtout est quelque chose de très important en Corée du Sud. »
RV : « Oui nous savons qui sont nos fans jusqu’à un certain point. Ce sont des (très) jeunes femmes. Nous pouvons aussi avoir plus d’infos lors des fan-events. »
JLT : Q° pour Dynamic Duo : Il y a tout une culture hip hop aux Etats-Unis avec un background qui remonte loin, peut-être différent de la culture coréenne. Pensez-vous que c’est une chance de pouvoir mixer les deux cultures ou que c’est une difficulté compte tenu des références hip hop des coréens ?
CZ : « Quand nous avons commencé il y a douze ou treize ans en arrière, le hip hop était vraiment minoritaire en Corée. Donc c’était difficile. On n’avait pas de loge attribuée pour les répètes sur les shows télévisés, nous n’étions pas vraiment acceptés en tant qu’artistes. Heureusement, nos fans étaient très proactifs et nous soutenaient énormément. Maintenant le Hip Hop est devenu une tendance cool et stylée en Corée du Sud. »
GK : « Avant, les informations était moins transparentes qu’elles ne le sont aujourd’hui et les coréens pensaient que le hip hop était quelque chose d’agressif, de violent. Avec le développement d’internet, les coréens ont eu accès à la culture hip hop plus facilement. »
JLT : Qui est le producteur ? [Qui compose la musique et qui est le producteur ?]
CZ/GK : « Tous les deux. »
GK : « Nous produisons nous même tous nos albums. Parfois nous travaillons avec d’autres compositeurs mais ce n’est pas la majorité. »
JLT : Est-ce que vous utilisez des instruments acoustiques ou des machines pour la production ?
GK : « On utilisait beaucoup de sampler avant mais maintenant tout se fait par ordinateur. »
CZ : « Nous n’avons pas de restrictions, nous utilisons tout ce qui peut l’être ! »
JLT : Le rap coréen se développe de plus en plus à l’international, pensez-vous que les rappeurs présents dans les groupes de K-pop ont aidé dans ce développement ?
GK : « Des groupes comme Big Bang ou 2NE1 qui intègrent du hip hop dans leur musique y ont contribué. »
CZ : « Certains artistes comme Jay Park viennent de groupe K-pop et travaillent maintenant avec des artistes underground. Tout cela a contribué à développer la culture hip hop. Les fans internationaux écoutent de la k-pop et sont plus habitués à entendre du coréen. De ce fait, ils n’écoutent plus uniquement de la pop et apprécient le hip hop malgré la barrière de la langue. »
RV : « Les fans sont plus habitués à la k-pop grâce à des groupes comme Big Bang ou DBSK. Je pense que des rappeurs comme G-Dragon ont contribué à développer le k-hiphop sur la scène internationale.
JLT : Beaucoup d’artistes underground créent leur propre label comme Hi-Lite, Vismajor, etc. Pensez-vous qu’il est mieux pour eux de créer leur label ou de signer sous une major déjà reconnue ?
GK : « Les labels underground sont très actifs en Corée. Ils sont en train d’envahir le marché et cela grâce aux réseaux sociaux comme SNS. Je pense que même sans être signés par un label, ils sont capables de faire leur promotion et de construire leur image. »
CZ : « C’est très important de savoir quel style de musique tu veux faire. Il y a beaucoup de style de musique, même dans l’underground, donc les petits labels doivent être clairs dans leur positionnement musical. »
GK : « Sur le marché coréen il y a des modèles économiques et c’était difficile de maintenir une activité dans l’underground. Mais ces labels deviennent rentables et génèrent des revenus donc c’est quelque chose de nouveau à surveiller. »
MD : Quelle est l’importance de YT pour vous ? Est-ce quelque chose que vous gérez vous-même ou est-ce une chaîne créée par vos fans pour tous les contenus vidéos ?
N : « Pour les fans internationaux, YT ouvre l’accès à la k-pop plus facilement. »
RV : « Notre compagnie a créé notre chaîne YT. Nous avons VIXX TV avec un nouvel épisode chaque semaine, ça nous permet de rester en contact avec nos fans de manière plus directe. Si nous n’avons aucune activité musicale, les fans peuvent toujours nous voir chaque semaine et interagir via la chaîne YT. »
N : « C’est super fun, je vous conseille à tous de regarder ce soir en rentrant à la maison ! »
JLT : La chaîne de VIXX est souvent utilisée pour la promotion d’un membre en particulier, pas seulement pour le groupe. Les mises à jour sont hebdomadaires, les fans ne se sentent-ils pas un peu dérangés par tant d’intimité ?
N : « Les VIXX que vous voyez sur scène sont les VIXX pleins de charme. C’est important aussi pour les fans de connaître chaque membre comme quelqu’un d’accessible. C’est comme un concept, cela vous permet de mieux connaître les VIXX qui sont sur scène. »
RV : « C’est aussi une manière de nous démarquer des autres groupes existants, en montrant chacune de nos couleurs et notre charme à chacun. »
MD : Twitter est un bon moyen de garder le contact avec vos fans et de leur faire partager votre quotidien. Est-ce que vous l’utilisez beaucoup ?
GK/CZ : « Twitter… » [Rires]
CZ : « Twitter est très important car nos followers sont des gens qui s’intéressent de près à ce que nous faisons. C’est un bon moyen de les avertir en temps réel si nous faisons un concert ou autre. Ça nous permet également de faire le tri dans les informations que l’on donne. On peut enlever le superflu. »
GK : « L’intérêt c’est que nous pouvons communiquer des photos promos qui ne sont pas créées par notre compagnie. »
CZ : « C’est plus honnête et aussi plus efficace. Mais c’est aussi à double tranchant, car ce que l’on met sur internet ne peut pas être effacé comme ça. Nous devons aussi en tenir compte. Je vais sur Twitter chaque fois que j’ai bu et le lendemain matin… »
GK : « [Quelqu’un] a dit que Twitter était une perte de temps… Pour nous c’est une leçon parfois… Parfois ! »
MD : Pour VIXX, Twitter est quelque chose d’important dans votre relation avec les fans ?
N : « Cela nous permet d’enlever la distance entre les fans et nous, d’être plus proche d’eux comme si nous nous parlions en face à face. Cela nous permet aussi de leur montrer notre quotidien. C’est une communication plus ‘friendly’. »
MD : J’ai entendu dire que vous alliez faire des concerts en Europe (VIXX). Il y a des pays très spécifiques qui sont fans de vous (Nord de l'Europe et pays scandinaves). Comment cela s’est-il développé à votre avis ?
N : « Nous avons une musique très européenne, ce qui leur permet de mieux comprendre notre musique. Comme je l’ai dit avant, c’est peut être grâce à notre charme extraordinaire ! »
MD : Mais pourquoi le Nord de l'Europe ?
RV : « Nous sommes tout aussi surpris par ce succès car ce n’est pas comme si nous avions ciblé le Nord de l'Europe pour la promotion de l’album. Peut-être que notre style de musique est plus proche des goûts du Nord de l'Europe. »
MD : Vous avez fait deux concerts à L.A. (Dynamic Duo). Il y a une grande communauté de coréens là-bas. Est-ce que cela vous a aidé d’avoir une fanbase de « locaux » déjà constituée?
CZ : « La première fois, il n’y avait pas beaucoup de fans internationaux. La deuxième fois, ils étaient plus nombreux. Ça a beaucoup aidé d’avoir des fans sur place car le premier concert à L.A. n’aurait pas pu avoir lieu s’ils n’avaient pas été là. »
GK : « Les Coréens à L.A. ont beaucoup participé à notre promotion sur place. Le bouche à oreille a bien fonctionné et au deuxième concert, les fans étaient plus diversifiés. »
CZ : « C’est arrivé sans faire exprès ! Nous sommes contents du résultat. »
JLT : Quelle est la différence entre les fans européens et coréens ? Quelle est la stratégie choisie pour le marché européen ?
RV : « La principale différence est qu’ils aiment la même chose mais ils l’expriment différemment. Par exemple, quand les fans coréens nous voient, ils crient beaucoup parce qu’ils veulent être proches de nous ou nous ressembler. Alors que les fans européens veulent être plus impliqués dans ce que nous faisons. Ils veulent monter sur scène et danser avec nous plutôt que de crier. »
CZ : « C’est notre premier show en Europe pour nous ce soir ! Donc nous verrons si nous avons des fans européens et si nous devons les étudier plus. »
JLT : Comment surmontez-vous la barrière de la langue sur les réseaux sociaux ?
GK : « Nous avons essayé beaucoup de méthodes différentes mais nous demandons d’abord à des amis qui parlent bien anglais de traduire. »
CZ : « Même pour les chansons ! Nous avons beaucoup de réponses de fans internationaux non anglophones, cela prouve à quel point la K-pop s’est développé dans le monde. Parfois nous utilisons des traducteurs en ligne (pour du Bulgare) et c’est très excitant pour nous ! »
MD : Connaissez-vous ou utilisez-vous des traducteurs de vidéos en streaming comme Viki ?
GK : « Est-ce que nos chansons y sont traduites ? C’est la première fois que nous en entendons parler. »
JLT : En Corée les Idols jouent parfois dans des dramas. Est-ce que c’est une activité qui vous intéresse ou préférez-vous rester dans la musique ?
N : « Les dramas ou les shows télévisés sont de bons moyens pour les idols de se développer. C’est aussi une façon de promouvoir notre musique auprès de ceux qui ne nous connaîtraient pas. C’est aussi important que notre musique. »
JLT : Compte tenu des récents événements au sein d’Amoeba, pensez-vous que cela puisse changer le management ou la stratégie dans le hip hop coréen ?
GK : « Ce qui va se passer n’est pas quelque chose que l’on peut prévoir. Le plus important pour Amoeba est de faire de la bonne musique. [Concernant notre stratégie] nous voulons aussi nous développer en faisant plus que de la musique, comme des vêtements par exemple. »
CZ : « Mais aussi des expositions [Gaeko peint des tableaux, ndlr]. Tout cela contribue à développer la culture hip hop en général. »
JLT : Vous avez à peu près 3 stades d’évolution: Quand vous avez quitté CB Mass, vos albums étaient pleins de rancœur et de rébellion. Puis vous avez grandi et parliez plus de famille, d’amour. Dans Digilog et Lucky Numbers, vous êtes plus dans l’expérimentation. Est-ce paradoxal pour vous de construire une stratégie marketing en ciblant vos fans tout en restant un artiste (fidèle à soi-même)?
CZ : « Cela peut être paradoxal parfois. Par exemple, les fans qui sont tombés amoureux de notre premier style ont peut être moins accepté notre deuxième style, et vice versa. Je pense que l’honnêteté est la chose la plus importante. Nous nous développons vite, nous découvrons de nouvelles choses et nous exprimons qui nous sommes aujourd’hui. Ce serait malhonnête et mentir que de recréer un style que nous avons eu par le passé. »
JLT : Depuis votre début, quelle est la chanson qui vous représente le plus ?
CZ : « C’est une question très difficile ! La plus récente ? BAAM. »
GK : « Le septième album sûrement car il représente le mieux ce que nous sommes aujourd’hui. »
MD : Dernière question, pensez-vous que les groupes de K-pop et de K-HipHop peuvent vivre heureux ensemble ? Est-ce une relation qui peut durer ?
CZ : « Oui, de nos jours on voit beaucoup de collaborations entre les deux. C’est bénéfique pour tout le monde. »
RV : « Personnellement j’ai grandi en regardant Dynamic Duo, je copie souvent et m’inspire d’eux pour mon rap. Donc ça ne me dérange pas de vivre avec eux. »
MD : Merci à vous tous pour vos questions et votre participation !
- Non, c’était juste pour voir qui avait lu jusqu’au bout ! -
Sources: Dynamic Duo, VIXX, www.midem.com , underkhiphop.com
T'ES LA MEILLEURE ! xD tu as même retranscrit toute la conférence c'est balèze !!
RépondreSupprimerA +